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Hôpital Claude Huriez
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Lille (59)
Études | 2004 |
Réalisation | 2006 |
Type | Espaces publics |
Ville | Lille (59) |
Pays | France |
Maîtrise d'ouvrage | CHRU de Lille |
Maîtrise d'œuvre | Katsuhito Nishikawa, artiste Empreinte, bureau de paysages Ph. Faucret, architecte Maning, BET VRD |
Mission | Maîtrise d’œuvre complète |
Superficie | 6 000 m² |
Coût | 1,5 M€ HT |
Ce projet est le fruit d’une rencontre et d’un partenariat avec Katsuhito Nishikawa, artiste sollicité par la Direction de l’Hôpital Huriez pour donner un sens, une qualité à l’accès à l’hôpital.
Avec lui, nous avons conçu un espace qui accueille et apaise le public concentré sur la maladie, donne un rythme lent à son cheminement, lui propose un espace disponible, plein de sérénité. Un sol de grandes dalles béton gris organise d’une manière très rigoureuse l’ensemble de la cour. Il se retourne sur des murs de soutènement qui gèrent le nivellement général de la cour et les accès à différents niveaux.
Sur ce sol parfaitement calepiné, un bosquet régulier de 70 Magnolia de Kobus souligne le rythme des saisons : floraison remarquable au printemps, frondaisons légères et ombres en été, feuillage qui se colore puis tombe en automne.
Au sol, 26 sculptures de physalis (l’amour en cage) en béton blanc et deux grands bancs cruciformes en pierre locale du boulonnais séquencent le parcours et proposent des pauses.
Tout cela constitue un ensemble extrêmement cohérent, sans accident ni diversion ; un ensemble paisible et calme qui donne un rythme lent et serein à celui qui entre dans l’hôpital.
Avec lui, nous avons conçu un espace qui accueille et apaise le public concentré sur la maladie, donne un rythme lent à son cheminement, lui propose un espace disponible, plein de sérénité. Un sol de grandes dalles béton gris organise d’une manière très rigoureuse l’ensemble de la cour. Il se retourne sur des murs de soutènement qui gèrent le nivellement général de la cour et les accès à différents niveaux.
Sur ce sol parfaitement calepiné, un bosquet régulier de 70 Magnolia de Kobus souligne le rythme des saisons : floraison remarquable au printemps, frondaisons légères et ombres en été, feuillage qui se colore puis tombe en automne.
Au sol, 26 sculptures de physalis (l’amour en cage) en béton blanc et deux grands bancs cruciformes en pierre locale du boulonnais séquencent le parcours et proposent des pauses.
Tout cela constitue un ensemble extrêmement cohérent, sans accident ni diversion ; un ensemble paisible et calme qui donne un rythme lent et serein à celui qui entre dans l’hôpital.