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Aménagement de la promenade Tolbianc Chevaleret
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PARIS, 13ème
Études | 2010-2012 |
Réalisation | 2014-2019 |
Type | Espaces publics |
Ville | PARIS, 13ème |
Pays | France |
Maîtrise d'ouvrage | SEMAPA |
Maîtrise d'œuvre | Pierre Gangnet, Architecte Urbaniste Mandataire Empreinte, paysagiste OGI, BET L.E.A, concepteur lumière |
Mission | Maîtrise d’oeuvre complète |
Superficie | 3 ha |
Superficie opération | 3 ha |
Coût | 10 M€ ht |
Pour le quartier de Tolbiac Chevaleret, le recouvrement des voies induit une nouvelle topographie dont le tracé viaire rectiligne et largement dimensionné de l’Avenue de France constitue la ligne de crête.
Depuis l’avenue de France, la dalle va être prolongée, recouvrant ainsi le plateau ferroviaire entre les rues Traversière (axe créé) et la rue Neuve Tolbiac. L’enjeu essentiel est de créer un quartier et des espaces publics de qualité sur cette dalle immense, sol artificiel.
L’espace public majeur créé s’organise de manière longitudinale, parallèlement à l’avenue de France et s’offre en promenade. Il est installé à la limite de la rupture du relief entre le nouveau quartier de la BNF et la rue du Chevaleret, sur terre ferme. L’épaisseur bâtie est implantée le long de l’avenue de France.
La promenade par son élancement met en scène sur cette ligne d’inflexion une situation géographique extraordinaire, référentielle sur tout le dispositif urbain du secteur.
La promenade est très largement plantée. Elle constitue un grand jardin linéaire en balcon.
Cet aménagement s’inscrit donc au-delà du quartier, à l’échelle de la ville de Paris.
Le franchissement est une donnée clef dans l’aménagement du quartier : franchir l’espace ferroviaire, franchir les dénivelés, établir des continuités entre le haut et le bas, entre le neuf et l’ancien. Le secteur est innervé de transversalités venant prolonger les vides de la colline jusqu’à l’avenue de France.
La promenade est marquée par ces points de rencontre transversaux. Elle s’ouvre sur l’avenue de France et s’annonce par de larges percées transversales qui animent le caractère minéral dominant de l’avenue.
Ces traversées sont parfois prolongées, reliant la rue du Chevaleret et le quartier de la colline Jeanne d’Arc au récent quartier de la Bibliothèque, certaines aboutissent simplement sur la promenade.
Depuis l’avenue de France, la dalle va être prolongée, recouvrant ainsi le plateau ferroviaire entre les rues Traversière (axe créé) et la rue Neuve Tolbiac. L’enjeu essentiel est de créer un quartier et des espaces publics de qualité sur cette dalle immense, sol artificiel.
L’espace public majeur créé s’organise de manière longitudinale, parallèlement à l’avenue de France et s’offre en promenade. Il est installé à la limite de la rupture du relief entre le nouveau quartier de la BNF et la rue du Chevaleret, sur terre ferme. L’épaisseur bâtie est implantée le long de l’avenue de France.
La promenade par son élancement met en scène sur cette ligne d’inflexion une situation géographique extraordinaire, référentielle sur tout le dispositif urbain du secteur.
La promenade est très largement plantée. Elle constitue un grand jardin linéaire en balcon.
Cet aménagement s’inscrit donc au-delà du quartier, à l’échelle de la ville de Paris.
Le franchissement est une donnée clef dans l’aménagement du quartier : franchir l’espace ferroviaire, franchir les dénivelés, établir des continuités entre le haut et le bas, entre le neuf et l’ancien. Le secteur est innervé de transversalités venant prolonger les vides de la colline jusqu’à l’avenue de France.
La promenade est marquée par ces points de rencontre transversaux. Elle s’ouvre sur l’avenue de France et s’annonce par de larges percées transversales qui animent le caractère minéral dominant de l’avenue.
Ces traversées sont parfois prolongées, reliant la rue du Chevaleret et le quartier de la colline Jeanne d’Arc au récent quartier de la Bibliothèque, certaines aboutissent simplement sur la promenade.